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4° Sur le chiffre de l'indemnité à accorder aux directeurs ou directrices des cours d'adultes communaux.
4° Sur le chiffre de l'indemnité à accorder aux directeurs ou directrices des cours d'adultes communaux.


5° Sur l'établissement s'il y a lieu, de la gratuité dans les écoles publiques.
6° Sur la fixation du taux de la rétribution destiné à déterminer le traitement éventuel de l'instituteur et de l'institutrie.
7° Sur la conversion du traitement composé de l'instituteur et de l'institutrice en un traitement fixe.
Le conseil après cet exposé reconnaissent les avantages de l'instruction,
Considérant qu'il n'y a pas de local pour recevoir les filles et qu'en supposant un emplacement trouvé, la commune, vu l'état de ses fonds, ne pourrait faire l'acquisition du terrain à bâtir, ni la construction d'une maison d'école, ajourne 1° pour le moment la création d'une école des filles au bourg chef lieu et dans les hameaux de la commune.
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Version du 5 décembre 2025 à 21:53

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Délibérations du conseil municipal d'Ergué-Gabéric du 12 mars 1851 au 1er juin 1879.

Séance(s) : 21 juillet 1867

Maire : Joseph Le Roux, maire (1862-1881)

Ordre du jour :

  • sept points délibérés sur école,
  • reconnaissance des bienfaits des classes d'adultes mais manque de moyens

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Transcription

Séance tenante 21 juillet 1867

Monsieur le Maire expose au conseil qu'il est appelé à délibérer :

1° Sur le nombre d'écoles spéciales aux filles, spéciales aux filles, de hameau et de cours d'adultes.

2° Sur le chiffre de traitement à allouer aux directeurs des écoles de hameau.

3° Sur la nécessité d'affecter une portion de la rétribution au traitement des instituteurs adjoints et instituteurs ...

4° Sur le chiffre de l'indemnité à accorder aux directeurs ou directrices des cours d'adultes communaux.

5° Sur l'établissement s'il y a lieu, de la gratuité dans les écoles publiques.

6° Sur la fixation du taux de la rétribution destiné à déterminer le traitement éventuel de l'instituteur et de l'institutrie.

7° Sur la conversion du traitement composé de l'instituteur et de l'institutrice en un traitement fixe.

Le conseil après cet exposé reconnaissent les avantages de l'instruction,

Considérant qu'il n'y a pas de local pour recevoir les filles et qu'en supposant un emplacement trouvé, la commune, vu l'état de ses fonds, ne pourrait faire l'acquisition du terrain à bâtir, ni la construction d'une maison d'école, ajourne 1° pour le moment la création d'une école des filles au bourg chef lieu et dans les hameaux de la commune.

2° Le conseil rejette la gratuité dans les écoles et maintient le prix déjà fixé dans la commune. [...]