Modèle:B290-Porchet-5
Huit coeffes de même qualité de toile adjugées à Marie Catherine Geordia pour trente deux sols.
Douze petites coeffes de même qualité adjugées à Jeanne Henry pour seize sols.
Douze autres petites coeffes de même qualité adjugées à Jean Le Meur pour vint sols.
Deux chemises à homme toile de lin adjugées à Louis Calvez pour cinquante un sols.
Trois mauvaises chemises à femme toile de chanvre adjugées à Henriette Tallaguen pour dix sept sols.
Un baillot [1] avec un peu de farine de bled noir et un peu de farine de seigle adjugés à Jean Le Teurnier pour vingt cinq sols.
Trois traversins de grosse toile à Etienne Le Meur pour huit sols.
Cinq chemises à femme de grosse toile adjugées à Louis Calvez pour trois livres seize sols.
Deux traversins de grosse toile et une serviette de toile neuve adjugés à Guillaume Pouliguen pour quarante un sols.
Total page 5 : 15 livres 19 sols
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TERME ANCIEN DE DOCUMENTS D'ARCHIVES
Baillot, bayeau, s.m. : Baillot à buée : baquet servant à faire la lessive (histoiresdeserieb sur free.fr.) La buée est l'ancien nom de la lessive traditionnelle jusqu'au début du XXe siècle qui voit la disparition de ce mode de lavage avec le développement de la lessiveuse en fer. La baille était généralement un baquet cerclé de fer de la taille d'un demi-fut ou d'un tonneau entier ouvert sur le dessus, et ce fut était placé sur une pierre ronde de granit creusé de rigoles d'évacuation. Un baillot peut aussi désigner un récipient pour conserver le lard ou d'autres aliments.
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