Modèle:B290-Porchet-3
Une autre jupe de berlinge [1] adjugée à Jeanne Gourmelen pour cinquante sols.
Une jupe d'étoffe bleüe adjugée à Louise Calvez pour quatre livres un sol.
Deux justins (...) adjugés à Jean Le Meur pour quatre livres.
Un tablier de pillots, et un justin bleuf sans manches adjugés à Margueritte Corler pour trente cinq sols.
Une chemisette d'étoffe bleüe adjugée à Jean Le Meur pour quatre livres.
Une paire de souliers à femme adjugée à Laurence Kergourlay pour trente sept sols.
Une male de toile adjugée à Catherine Coadou pour huit sols.
Un rolle de tabac ou bougie adjugée à Laurent Le Corre du Bourg d'Ergué-gabéric pezant lors de la livraison suivant le livrer cinq livres six onces trois quarts pour treize livres cinq sols attendu le déchet à la charge du dit Corre de faire sa déclaration au bureau de tabac.
Total page 3 : 13 livres 5 sols.
Et sur ce qu'il est midy sonné à l'horloge de la paroisse avons envoié la continuation de la présente à douze heures de relevé de ce dit jour. Sous notre seign, et celui de l'ajoint le crieur aiant déclaré ne savoir signer de ce interpellé.
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TERME ANCIEN DE DOCUMENTS D'ARCHIVES
Berlinge, s.f. : étoffe particulière courante en Cornouaille au 18e siècle, dont la chaîne est en fil de chanvre et la trame en laine (source : www.1789-1815.com). Dans beaucoup de fermes de la Cornouaille, on a l’habitude de faire quelques aunes de berlinge au bout des toiles de chanvre que les cultivateurs tissent eux-mêmes pour leur usage (Breiz-Izel, ou vie des Bretons de l’Armorique, par M. Alexandre Bouët, tome troisième, Paris 1844, p. 112)
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